mardi 13 mars 2018

La revue dessinée. Printemps 2018.

Ces 228 pages saisonnières revenant sur les affaires qui apparurent un moment à la une de l’actualité sont un excellent remède contre « l’infobésité » qui nous guette avec ses sucres rapides.
Thèmes privilégiés : le travail et le contenu de nos assiettes… le Moyen Orient.
- Que sont devenus ceux qui se sont fait arracher la chemise par des salariés d’Air France ?
L’un d’eux s’appelait Plissonnier, fils d’un ancien dirigeant du PC.
- Comment les communes se débrouillent pour attirer des médecins généralistes ?
- Dans notre flexible univers, un petit tour dans un « open space » : pas forcément cool.
- Visite dans un gigantesque abattoir breton avec un reporter en immersion, où il n’est pas question que de souffrance animale mais aussi des employés soumis à des cadences inhumaines.
- Précisions et nuances sur le bio.
- D’où vient Erdogan ?
Il avait émergé en politique en faisant de l’adhésion de la Turquie à l’Europe un objectif majeur.
- A travers un trajet en taxi collectif le long de l’ancienne ligne de démarcation à Beyrouth, des nouvelles du Liban.
Dans les rubriques habituelles :
-        La biographie d’un chimiste allemand : engrais et armes chimiques, Fritz Haber.
-        En musique : la poétesse Brigitte Fontaine, elle s’était produit en première partie de Brassens.
-        En vocabulaire : expat’, migrant ou réfugié ?
-        En sport : le hula hoop.
-        En cinéma : « La forteresse cachée » de Kurozawa.
-        En photo : les combattants de Maïdan.


1 commentaire:

  1. Dans la panoplie des mots pour qualifier les étrangers déplacés, il y a(vait) immigré de première génération...
    C'était il y a quelque temps, certes, mais je m'en souviens encore. Je me qualifie d'ailleurs toujours de cette expression qui me semble au plus près de mon vécu.
    Lol le dessin. Le comble de l'inconséquence...

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