mardi 6 novembre 2012

Les filles électriques. Zep.



Il n’y a pas que Titeuf dans la vie de Zep.
Cette fois c’est Robert, adolescent à la moustache naissante,  à la libido impérieuse, qui cherche à « conclure » page après page avec les filles les plus belles qui ne veulent pas de lui : un grand classique.
Les émotions avec Canal + codé et les posters de bombasses sont  insuffisantes, alors il apprend la guitare mais ce sont les autres qui emballent.
Il met beaucoup de bonne volonté mais ce sont les grossiers qui embrassent férocement les beautés délicates qui ne savent pas reconnaître le poète :
« Je marche seul comme un avion sans ailes qui survole ta maison bleue accrochée à la colline où les perles de pluie puisées à l’encre de tes yeux ne me laissent pas déjeuner en paix, ah ! je ne peux pas avoir de satisfaction. Non non non. »
L’humour c’est simple et quand une fille sourit c’est il va faire beau .

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