lundi 4 août 2008

« L’euphorie perpétuelle, la suite »


Le sujet est grave : l’injonction d’être heureux creuse les angoisses. Le traitement théâtral dans le off d'Avignon est malicieux, brillant. Le show du one man, Pascal Thoreau, est succulent : sa bouche sourit mais ses yeux sont tristes. Des citations bien placées, comme on respire, bien liées par le texte de Bruckner à la langue impeccable de précision. Dialogue drolatique et habile avec le public en réponse à un questionnaire distribué avant le spectacle.

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